Etape 18 : Béarn… Chaud !

Dès les premières lueurs du jour, en prévision des grosses chaleurs, je quittai le gîte en même temps que deux marcheurs sur le GR10 sur le coup des sept heures ; Jean Marc, un palois et Michel, qui est belge. Nous avons passé la soirée à refaire le monde .. Et c’était plutôt sympa.

Arbre qui a pris la foudre

Donc, terminé le Pays Basque et bonjour le Béarn (on n’est pas très loin de Pau). L’étape comportait plein de petites bosses et encore 90 km et 1000 m de dénivelé…bien assez pour aujourd’hui. Je suis arrivé à Orthez sur le coup de 13h30 Juste avant la chaleur. Sur le parcours, pas grand monde dimanche oblige, et j’ai apprécié car les camions ça craint!

Vol d’aigrettes au dessus d’un troupeau de vaches

Orthez est un ville qui n’a pas beaucoup d’atouts touristiques. Pour moi, elle représente sa fabuleuse  équipe de basket (années 1990) et ses combats à l’Astroballe contre l’ASVEL de Villeurbanne. J’ai assisté à des matchs fabuleux (Rudd, Digbeu).

Pont sur le Gave d’OLoron

Demain matin départ matinal (au lever du jour) pour une petite étape raccourcie. On annonce trois jours de canicule… On verra bien.

4 réflexions au sujet de « Etape 18 : Béarn… Chaud ! »

  1. Yvette MOISSONNIER

    Ménage toi un peu car cette chaleur à la mi septembre est particulièrement éreintante . Hier 33 degré »s à 15 h à Ternand . Jolie photo : ces vaches et leurs hôtes ailés (ou hôtes zélés )!!!!

    Répondre
  2. EHRSTEIN Gérard

    Bravo Robert, Ton opiniâtreté me rappelle celle dont tu faisait preuve dans notre approche de la qualité à l’université. Tu fais preuve de beaucoup de courage et de persévérance ! Je suis admiratif car peu adepte des efforts physiques, le tien est pour moi exemplaire !
    Je te suis avec plaisir et apprécie aussi tes photographies !
    Courage pour la suite, à toi, roi de la petite reine !

    Répondre
    1. Robert Auteur de l’article

      C’est un immense plaisir Gérard de te lire sur mon blog. Toujours en mémoire notre collaboration à l’Université et le partage de valeurs communes. Sous la chaleur, je serre un peu les dents mais ça en vaut la peine que de soutenir ces personnes atteintes de la maladie de Charcot. Au plaisir d’une rencontre après la fin de mon périple.

      Répondre

Répondre à Lionel Annuler la réponse.